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« Parfois résister c’est partir » : Taubira s’en va, Valls défend la réforme constitutionnelleLe Monde.fr | • Mis à jour le Fin de partie pour Christiane Taubira. Le président de la République, François Hollande, et la ministre de la justice, Christiane Taubira, « ont convenu de la nécessité de mettre fin [aux] fonctions [de Mme Taubira] au moment où le débat sur la révision constitutionnelle s’ouvre à l’Assemblée nationale, aujourd’hui, en commission des lois », écrit l’Elysée dans un communiqué, mercredi 27 janvier.L’entourage du président à précisé que la démission de la garde des sceaux a été validée dès samedi, avant même le départ de François Hollande pour une visite officielle en Inde. >> Suivez notre direct et posez vos questions sur Le Monde.fr >> Les réponses aux questions que vous nous avez posées
A l’image d’une partie de la gauche, Christiane Taubira était opposée au projet porté par le chef de l’Etat de révision constitutionnelle dont l’examen s’ouvre aujourd’hui en commission des lois, et qui prévoit d’intégrer à l’état d’urgence à la Constitution. « Parfois résister c’est rester, parfois résister c’est partir. Par fidélité à soi, à nous. Pour le dernier mot à l’éthique et au droit », a écrit Mme Taubira sur son compte Twitter. Lire aussi : Avec le départ de Christiane Taubira, la ligne Valls se renforce
L’ex-députée de la Guyane s’est dite « fière » de son action Place Vendôme depuis 2012. Mme Taubira aura notamment fait adopter au Parlement la loi ouvrant le mariage aux homosexuels. « La justice a gagné en solidité et en vitalité. Comme celles et ceux qui s’y dévouent chaque jour, je la rêve invaincue », écrit-elle sur Twitter, où de nombreux responsables de gauche lui rendent hommage. Cible de prédilection de la droite depuis le début du quinquennat, Christiane Taubira était considérée comme « laxiste » par bon nombre de ses détracteurs. A l’annonce de sa démission, la droite n’a pas caché son soulagement. Lire le décryptage : Budgets, peines, effectifs : le b« Parfois résister c’est partir » : Taubira s’en va, Valls défend la réforme constitutionnelleLe Monde.fr | • Mis à jour le Fin de partie pour Christiane Taubira. Le président de la République, François Hollande, et la ministre de la justice, Christiane Taubira, « ont convenu de la nécessité de mettre fin [aux] fonctions [de Mme Taubira] au moment où le débat sur la révision constitutionnelle s’ouvre à l’Assemblée nationale, aujourd’hui, en commission des lois », écrit l’Elysée dans un communiqué, mercredi 27 janvier.L’entourage du président à précisé que la démission de la garde des sceaux a été validée dès samedi, avant même le départ de François Hollande pour une visite officielle en Inde. >> Suivez notre direct et posez vos questions sur Le Monde.fr >> Les réponses aux questions que vous nous avez posées
A l’image d’une partie de la gauche, Christiane Taubira était opposée au projet porté par le chef de l’Etat de révision constitutionnelle dont l’examen s’ouvre aujourd’hui en commission des lois, et qui prévoit d’intégrer à l’état d’urgence à la Constitution. « Parfois résister c’est rester, parfois résister c’est partir. Par fidélité à soi, à nous. Pour le dernier mot à l’éthique et au droit », a écrit Mme Taubira sur son compte Twitter. Lire aussi : Avec le départ de Christiane Taubira, la ligne Valls se renforce
L’ex-députée de la Guyane s’est dite « fière » de son action Place Vendôme depuis 2012. Mme Taubira aura notamment fait adopter au Parlement la loi ouvrant le mariage aux homosexuels. « La justice a gagné en solidité et en vitalité. Comme celles et ceux qui s’y dévouent chaque jour, je la rêve invaincue », écrit-elle sur Twitter, où de nombreux responsables de gauche lui rendent hommage. Cible de prédilection de la droite depuis le début du quinquennat, Christiane Taubira était considérée comme « laxiste » par bon nombre de ses détracteurs. A l’annonce de sa démission, la droite n’a pas caché son soulagement. Lire le décryptage : Budgets, peines, effectifs : le b« Parfois résister c’est partir » : Taubira s’en va, Valls défend la réforme constitutionnelleLe Monde.fr | • Mis à jour le Fin de partie pour Christiane Taubira. Le président de la République, François Hollande, et la ministre de la justice, Christiane Taubira, « ont convenu de la nécessité de mettre fin [aux] fonctions [de Mme Taubira] au moment où le débat sur la révision constitutionnelle s’ouvre à l’Assemblée nationale, aujourd’hui, en commission des lois », écrit l’Elysée dans un communiqué, mercredi 27 janvier.L’entourage du président à précisé que la démission de la garde des sceaux a été validée dès samedi, avant même le départ de François Hollande pour une visite officielle en Inde. >> Suivez notre direct et posez vos questions sur Le Monde.fr >> Les réponses aux questions que vous nous avez posées
A l’image d’une partie de la gauche, Christiane Taubira était opposée au projet porté par le chef de l’Etat de révision constitutionnelle dont l’examen s’ouvre aujourd’hui en commission des lois, et qui prévoit d’intégrer à l’état d’urgence à la Constitution. « Parfois résister c’est rester, parfois résister c’est partir. Par fidélité à soi, à nous. Pour le dernier mot à l’éthique et au droit », a écrit Mme Taubira sur son compte Twitter. Lire aussi : Avec le départ de Christiane Taubira, la ligne Valls se renforce
L’ex-députée de la Guyane s’est dite « fière » de son action Place Vendôme depuis 2012. Mme Taubira aura notamment fait adopter au Parlement la loi ouvrant le mariage aux homosexuels. « La justice a gagné en solidité et en vitalité. Comme celles et ceux qui s’y dévouent chaque jour, je la rêve invaincue », écrit-elle sur Twitter, où de nombreux responsables de gauche lui rendent hommage. Cible de prédilection de la droite depuis le début du quinquennat, Christiane Taubira était considérée comme « laxiste » par bon nombre de ses détracteurs. A l’annonce de sa démission, la droite n’a pas caché son soulagement. Lire le décryptage : Budgets, peines, effectifs : le b |
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